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Intrigue #2

Event de Noël

Tout allait bien à Hatfield. Tout allait bien, jusqu’à ce qu’un nouvel Eveillé se manifeste, et chamboule tout. Sans crier gare, les adultes se sont mis à agir comme des enfants, refusant de travailler, se déguisant, jouant dans la rue, fuyant les épinards.
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Je vais vous faire une présentation que vous ne pourrez pas refuser.

Luciano Valente
Luciano Valente
Le Parrain
Messages : 75
Dollars : 8580
Date d'inscription : 29/10/2016
Age : 25
Groupe : Grey
Sam 29 Oct - 18:54
Luciano Valente
(avec l'accent)

"Sois proche de tes amis, et encore plus proche de tes ennemis" Coppola



NOM Prénom: Luciano Valente
Titre:GodFather/The Printer
Groupe:Grey (X50)
Âge: 20 ans
Orientation sexuelle: Celle qui rapporte.
Sexe: Italien.
Quartier: la Vielle Ville, dans un des manoirs.
Personnage Meh

Histoire réelle
Luciano Valente est né précocement d'une union tardive. Ses parents, atteignant tout deux la quarantaine, se sont trouvé tous deux après des années d'errances. Mariés en Italie, ils sont repartis aux Etats-Unis où ils vécurent modestement dans le quartier Italien de Hatfield. M. Valente avait ouvert une papeterie, et Mme Valente faisait le ménage (comme personne) dans les riches manoirs de la ville. Leur fils fut rapidement source de problème. Né au huitième mois, il a failli y rester. Il s'est vite montré assez faible,souffrant de nombreuses carences, etc. De plus, il s'est avéré rudement antisocial et renfermé, dû à ses difficultés physiques. Bon élève, son mutisme l'empêcha de se hisser au rang de premier de la classe. Pris en tête de Turc, il cachait à ses parents tout de son malheur, ce qui fait qu'ils ne se posèrent que tardivement des questions. Alors qu'ils songeaient à consulter un psy, un changement radical s'opéra comme par enchantement chez le jeune Valente : à la suite du visionnage d'un film (impossible de se souvenir duquel), Luciano s'affirma d'un seul coup, adoptant un look vestimentaire propre, un vocabulaire riche, et une attitude plus que mature pour un enfant de son âge. Ses parents s'en félicitèrent et relâchèrent la pression. Leur enfant grandissant, il présenta une débrouillardise hors norme et gagna son premier salaire très rapidement. Il semble même qu'il ait décroché un job avant même d'avoir fini ses études, car ses parents purent profiter d'une retraite prématurée et du déplacement dans une maison de retraite qui ressemblait plus à un hôtel 5 étoiles, au frais de leur fils. Jamais il ne se posèrent de question, trop heureux de leur chance, et coulent désormais des jours heureux, complétement pris en charge par leur fils.




Chuunibyou
Luciano Valente est fils d’une ancienne famille Italienne vivant en Amérique depuis peu. A présent bien ancré dans la culture Américaine, la famille Valente n’a gardé d’Italien que le nom et un certain accent. Cependant, Luciano, par un malheureux hasard scénaristique, a visionné les trois films de Coppola, Godfather, alors qu’il était en quatrième et, de fait, sujet à la Chuunibyou. Bien entendu, le raccourci est vite emprunté par ce chétif petit garçon, véritable tête turc de la classe : « Je suis italien. Le Parrain est italien. Il s’est fait humilier et victimiser durant son enfance, moi aussi. Je suis donc un Parrain ».

Les enfants, surtout en quatrième, peuvent parfois se mettre d’incroyables idées dans la tête, compétemment aberrantes, pour des raisons tout aussi loufoques. C’est bizarre, un quatrième.

Ni une ni deux, le voici qui vient, endimanché comme jamais, portant le chapeau et la canne, dans le collège du quartier italien de Hatfield. Ces habituels bourreaux, hilares, ne manquèrent pas de dénicher de nouveaux quolibets à son égard. Cependant ils s’arrêtèrent très vite quand il se mit à proposer à ses camarades de classes des « prêt de feuilles ». Vous savez, collégiens ou ex-collégiens, que les feuilles sont des denrées excessivement rares avec une proportion à disparaître à toute vitesse et c’est toujours quand vous avez un gros DS de math qu’il vous manque les 18 copies doubles nécessaires.

Aussi, profitant pleinement du travail de son père, gérant d’une papeterie, il se constitua un stock de feuille important et fonda la Valente’s paper. Cette organisation dont il était le seul membre consiste à donner des feuilles aux nécessiteux, qui le remboursaient avec un taux d’intérêt (assez faible, soit dit en passant).

Ses camarades, trop heureux d’être dépanné dans les pires moments de manque qui puissent exister en quatrième, oublièrent un temps le petit « piccolo stupido »  comme il était surnommé est se prêtèrent au jeu de celui qu’ils appelaient dorénavant « l’Imprimeur ».

Cependant Luciano attendait en secret le jour où l’un d’entre eux abuserait de son système, car bien que plus respectueux, les autres de la classe ne le regardaient pas encore de la bonne façon pour un parrain mafieux : avec crainte. Et ce jour arriva, bien entendu.

A la suite d’un dst de science naturelle, il se dirigea vers un énorme élève, un des leaders de l’école, redoublant par deux fois, plus grand que la plupart des troisièmes et d’une bonne partie des lycéens. Un de ses pires ennemis.

« Mario, dit-il avec cette voix lente à l’accent prononcé qu’il avait dorénavant, cela fait plusieurs semaines que tu m’emprunte des feuilles pour les DS sans rien me rendre en retour. Je te rends service et ta dette augmente chaque jour. Il serait temps de penser à t’en acquitter. J’aurais justement besoin d’un petit service… »

L’autre le regarda avec un sourire bête et le bourra violemment. Envoyant valser le pauvre Luciano.

« Contente-toi de me filer des feuilles quand j’en ai besoin, Piccolo stupido, et je te ficherais la paix à la sortie. »

Il lui donna un violent coup de poing dans le ventre, et lui arracha une chaussure.

« Voilà un avertissement… »

Il lui vola l’autre.

« … et voilà ta punition pour m’avoir menacé. »

Et il le laissa seul, au sol et sans chaussure.


Mario ne vint pas le lendemain. Ni les jours qui suivirent.

Une rumeur circulait, comme quoi il fût retrouvé étranglé chez lui.

Et l’air entendu de Luciano Valente faisait froid dans le dos à quiconque le croisait.

***

Depuis ce jour, Luciano devint un parrain. Un vrai. En plus d’étendre son trafic de feuille à celui de stylo, marqueurs, gommes et autres, il rendait désormais des services à qui venait le supplier, et qui était prêt à en payer le prix.
Les autorités éducatives ne mettaient pas son nez dans ses affaires, notamment parce que son trafic s’étendaient aux craies, aux marqueurs, et aux cartouches d’encre de photocopieuse. Certains profs venaient même lui demander service, par exemple pour obtenir le calme dans leur classe.

Certains élèves bien avisés, souvent d’anciennes victimes, rejoignirent son organisation qui finit par devenir une véritable famille mafieuse. Ils ignoraient bien entendu tout des « avantages » de leur parrain, qui ne les utilisaient que subtilement.

Un autre fait marquant et très important de la « famille Valente » est connu sous le nom de « l’affaire du marchand de glace ». Un élève peu scrupuleux, fils d’un riche homme d’affaire, Marcus Manus, tenta de doubler Luciano. Il vint dans son bureau (une salle de classe désaffectée au dernier étage du collège) avec une étonnante requête :

« Parrain, je suis un de tes plus fidèles dépositaires : j’ai toujours restitué les feuilles que je t’ai emprunté. J’ai aidé lors de l’opération visant à soudoyer le gardien qui avait grillé deux de tes hommes la nuit dans le collège. Je viens vers toi car j’ai un service à te demander : J’ai eu quelques griefs avec un marchand à glace, qui propose des prix exorbitants. J’aimerai racheter son affaire, afin de permettre aux étudiants de profiter de prix raisonnable et des meilleures glaces à l’italienne. Cependant il n’est pas prêt du tout à vendre, certainement pas à un mineur. Je sais que tu as le syndicat des élèves dans ta poche, si tu proposais, officiellement, que j’en fasse partie et que l’affaire soit considéré comme une organisation ludique, dont nous soumettrons l’idée au proviseur… »

Luciano réfléchit longuement, du moins c’est ce qu’il laissait paraître, le temps que son interlocuteur soit suffisamment mal à l’aise.

« Tu voudrais que le syndicat propose une organisation de vente de glace comme il a proposé la vente de chocolat ou le spectacle de fin d’année ? »

« C’est cela, mon parrain ».

« Alors qu’en vérité tu veux que l’affaire t’appartiennent complétement, et que tu touches toute la recette ? »

« Je… Je… je n’ai pas forcément… »

« Si tu étais venu ici en me traitant comme ton véritable parrain, comme un membre de ta famille, ce marchand de glace aurait déjà cédé son affaire. Mais tu viens là en me considérant comme un vulgaire chef de gang qui cherche à s’enrichir. »

Il se leva et présenta sa chevalière, que Marcus s’empressa de baiser.

« Cela fait longtemps que ce marchand de glace me pose problème, il pratique un commerce illégitime et ruine les braves collégiens, les membres de ma famille. Cet Infada ne mérite pas son commerce. »

Il réfléchit un instant et conclut :

« Tu géreras cette affaire, mais je m’occuperais d’en fixer les prix. Tu verseras un tiers au syndicat, et un tiers à la famille. En échange tu toucheras le tiers restant et tu n’auras rien à dépenser pour le racheter. »

Comprenant que l’entretien était clos, Marcus se leva. Il s’apprêtait à sortir quand il demanda :

« Et le marchand ? Comment allez-vous  lui faire changer d’avis ? »

« Je lui ferais une offre qu'il ne pourra pas refuser. »

***

Ayant récupéré une certaine somme auprès  d’un professeur qui accumulait les services non rendus, il acheta l’affaire pour 200 dollars. Personne ne sut comment il s’y était pris, mais personne ne revit le marchand dans le quartier. Personne ne le revit tout court d’ailleurs.

Marcus eu donc le privilège de servir des glaces à tous les collégiens de l'établissement : ses glaces à l'italienne surpassaient celles de son prédécesseur, un obscur américain de souche, et le syndicat était heureux de ce nouveau membre imprévu. Le proviseur avait accepté sans hésitation la proposition – il n'eut pas trop le choix – et personne ne sut rien du petit arrangement entre Marcus et  Luciano.

Cependant Marcus ne respecta pas le marché. Il ne donna pas un sous pendant trois mois. Le 31 du troisième mois, Luciano se rendit chez lui, pour le découvrir en train de faire ses valises.

« On prend des vacances Marcus ? »

« Parrain ! je… Je n’ai pas… »

Il cacha prestement un portefeuille bien garni dans son sac, mais Luciano l'avait vu avant.

« Tu ne m’as pas respecté Marcus. Tu as cherché à profiter de moi. »

Il s’avança lentement du félon, la tête penché et le regard froid.

« Je sais tout de ta petite tentative. Tu cherchais à rejoindre Perrine, c'est cela ? »

« Comment... Comment sais-tu que... » mais Luciano l'interrompit, continuant à s'approcher.

« Cette chère Perrine... Partie au Québec... Tu étais fou d'elle, n'est-ce pas ? Quel déchirement pour toi... Et bien entendu, tout riche que tu étais, tes parents refusèrent de financer un tel voyage. »

« Parrain, je vous jure... »

« Il te fallait de l'argent liquide, et rapidement. Tu as amassé une petite somme, dont deux tiers ne t'appartient pas. Tu as cherché à me rouler, Marcus. »

A présent, il pouvait sentir son souffle sur son visage, plonger son regard dans l'abîme sans fond de ses yeux...

« Je t’ai traité en ami, en frère, et tu ne m’as pas respecté. «  asséna-t-il comme phrase finale.

Marcus ravala sa salive, puis se dégagea de l'étreinte vampirisante de son interlocuteur.

« Ça suffit Luciano, répondit Marcus, changeant soudainement de ton en se ressaisissant. Arrête avec ton petit cirque, je ne sais pas comment tu te débrouille mais tu n’effraie personne. Allez, laisse-moi pass… »

Soudainement un homme en costume trois pièce surgit de sous son lit, une arme braquée sur sa tempe.

« Je ne te fais pas peur, Marcus ? Et lui, il ne te fait pas peur ? »

Tétanisé, Marcus ne savait quoi répondre.

« Tu es Italien, je ne vais donc pas te tuer. Mais en effet, tu vas partir. Je récupère l’affaire, ton argent, et je ne veux plus te voir dans cette ville. »

Comprenant qu’il n’avait pas le choix, il vida ses poches sur la table, lui donna son portefeuille avec des mains tremblantes, et quitta la maison presque en courant. Luciano le regarda par la fenêtre de sa chambre, tourner au coin de la rue, attendit quelques secondes pour le voir mollement s'affaisser sur le bitume, les yeux vides.

***

A partir de ce jour la famille Valente commença à gagner de l’argent et ce fut le début de la prospérité. S’étendant sur tout le quartier Italien, puis dans tout Hatfield, faisant de sa spécialité les loisirs étudiants. Tous les lycées et collèges accueillaient un comptoir de la Valente’s paper. Tous les syndicats des élèves lui transmettent des informations et toutes les organisations étudiantes sont financées par la famille. Le cinéma, les marchands de glace, lui appartiennent. Mais il s’est aussi étendu à d’autres établissements moins « adolescents ». Il a ses contacts à la police, à la Mairie, bref c’est un Parrain accompli. Il contrôle même la luxueuse maison de retraite dans laquelle ses parents coulent des jours heureux, parfaitement inconscients du statut de leur fils et bien contents d'être complétement pris en charge à 60 ans. Ainsi, il s'assure de ne pas être dérangé par un résidu d'autorité parentale.

Il est également conscient de l’existence des éveillés, et participe dans l’ombre à maintenir une certaine cohésion au sein de ce « peuple de surhomme ». Ses informateurs son précieux pour la Mairie afin de suivre l’évolution de chacun, et certains ont même rejoint ses rangs. A ce jour c’est le domaine qui présente le plus d’intérêt pour lui…



Pouvoir
Les pouvoirs de Luciano ne sont pas très clair. Il s'agit d'un éveillé, cela reste certain, mais son chunnibyou s'étend à un milieu ayant réellement existé : Aussi sont-ils moins flagrants que des pouvoirs de personnages « imaginaires ». Ce n'est pas un Super-héros, ou un Super-vilain.

En vérité ses pouvoirs viennent « faciliter » son statut de mafieux. Il s'agit principalement de pouvoirs d'ambiance, de mise en scène, qui viennent sublimer son rôle. Il n'a pas à les invoquer en prononçant des noms incompréhensibles, ils agissent passivement.

Un exemple : Luciano est toujours entouré de gardes du corps. Ils peuvent être à ses côtés ou cachés dans des lieux randoms, ils peuvent être réels ou non, mais il sera TOUJOURS défendu par quelqu'un – point.

Chacune de ses paroles impose une tension à son interlocuteur, même s'il est surpuissant ou immortel. C'est le Parrain, et le Parrain ne dit rien qui ne soit soupesé et inutile.

Une autre capacité du Parrain, est de rendre chaque lieu propice à son besoin. Un entrepôt désaffecté, une salle de théâtre huppée, considérez qu'il puisse transformer n'importe quoi en scénarum. Toutes ses actions sont dignes d'une scène de film est tout est mis à disposition – il est même possible que vous vous retrouviez maquillé comme un comédien si vous lui parlez sous la lumière blafarde d'un lampadaire afin de ne pas rendre votre teint trop pâle et ainsi décrédibiliser la scène.

De même, il ne sera jamais à court de petite coupure. Ça a son avantage.

Comprenez bien : il peut mourir. Mais il reste du début à la fin un personnage de film.

Ses autres capacités tiennent moins de ses pouvoirs que de son actuel statut. Luciano a la main mise sur une bonne partie de la ville, à presque tous les niveaux. Il sait ce qu'il s'y passe, il connaît chaque personne qui en vaille la peine, il possède la moitié des établissements privés, a des contacts parmi les autorités, est couvert par la police, gère une bonne partie de la pègre...

Néanmoins, un parrain se doit d'avoir des rivaux. Avec son éveil, c'est toute une pègre mafieuse qui est apparue dans Hatfield, et d'autres Famille se dispute le pouvoir. Luciano n'est pas tout puissant. Mais ne lui causez pas de tort, car à défaut de vous tuer, il peut faire de votre vie un enfer – n'oubliez pas qu'il peut vous empêcher d'avoir un job, ou vous calomnier dans la presse (il possède trois des cinq journaux locaux) ou encore cibler vos amis et proches. Bref ne lui chercher pas des noises si vous tenez à votre vie sociale.


Physique
Luciano est un jeune rital à l'aspect chétif et fragile : 1m70, 55 kilos tout mouillé, musculature quasi inexistante, cheveux noirs et gominés, yeux noirs, teint autrefois hâlé devenu blafard à force de ne pas sortir à l'air libre. Mais ses 8 ans d'activités mafieuses ont transformées le jeune timide et peureux Luciano en un génie du crime organisé et son attitude s'en ressent. L'air déterminé, la posture droite, les gestes maîtrisés et dynamiques (nonobstant la célèbre flegme italienne), son regard froid le rend indiscernable et d'autant plus inquiétant. Sa voix éraillée et traînante rend chacune de ses paroles insoutenable tant l'attente du prochain mot est longue.

Il porte des costumes trois pièces variés, taillés sur mesure et chics. Il ne quitte jamais ni son feutre, ni sa canne ouvragée. Il boit du whisky mais ne fume jamais, à l'inverse de ses hommes de main.

Il habite un manoir huppé dans le quartier le plus chic de la ville, manoir qui s'avère être une résidence ultra sécurisé et disposant de système moderne, mais il dispose bien entendu de résidences secondaires dans tout la ville et même le pays.
Mental
Difficile de faire état du caractère de Luciano. Il joue un jeu très subtil et se dévoile rarement ne serait-ce qu'à moitié. La plupart du temps, vous aurez affaire à un individu froid, calculateur, présentant certes un fort attachement à la Famille qu'il s'est créé, mais restant toujours extrêmement distant. En fonction de la situation il peut parfois se montrer cruel, généreux, fier, ou entêté. Il est cependant certains points invariants quant à son caractère :

- Ne le prenez pas pour un simple chef de gang. Si ses pratiques sont proches, ses intentions n'ont rien à voir. L'argent n'est qu'un moyen pour lui. Son véritable objectif est assez obscur, mais à priori c'est le simple fait d' « être » mafieux qu'il recherche. Le reste, c'est du décorum.

- Parlez lui en filleul. Ni comme un égal, ni comme un vassal, mais bien comme un membre de la famille. Vos chances de le convaincre augmentent et celles de mourir diminuent.

- NE L'APPELEZ PAS L'IMPRIMEUR. Il est certes connu sous ce pseudonyme mais il lui rappelle que trop ses débuts peu glorieux. C'est très risqué. Vous êtes prévenu.

- Ne montrez pas ouvertement que vous le craignez – quoi que vous ayez fait. Il sait pardonner, mais l’apitoiement est quelque chose d'abject à ses yeux. Assumez.

- Ne lui dites pas qu'il est méchant : vous le blesseriez – et vous lui donnerez raison. Luciano n'est méchant qu'avec les méchants et ceux qui le voient comme tel. Apprenez qu'il a bon fond : Il recherche entre autre le bonheur de ses pairs, tant qu'il en profite aussi.



           

         
Bon, bah moi c'est Théonysos. Je n'ai pas de sexe car je suis un Dieu (c'est jamais bien défini ces trucs-là). J'ai environ 18 ans (je suis un jeune Dieu) et je prépare des études de sciences (même les Dieux doivent apprendre). Comme le suggère mon nom j'ai des attributs proche de mon homologue grec : je suis le Dieu des jeux et de la fête. Attention ! Je ne suis pas réellement un fêtard, mais je les adore (les fêtards). Je suis leur Patron. Bacchus lui même ne participe pas aux orgies qu'il organise. Il les organise et veille à ce que tout se passe bien. Bah pareil.
Forcément, je suis aussi le Dieu de la vigne et du vin, mais là aussi je déguste, je ne bois pas. J'ai également pour attributs les chemises à fleurs et les couronnes de lierres mais c'est moins important.
Voilà voilà. Sinon j'aime bien les histoires fantastiques et les arbres. C'est à peu près tout. Sinon je tiens à dire que Luciano a trouvé une place dans ma chambre (les admins savent qu'il n'y a déjà plus beaucoup de place) et qu'il vous surveille déjà. Bon, bah bisou. En vous souhaitant une longue et heureuse fête,
Théonysos





Code by Kuro

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Gordon Wolfe
Gordon Wolfe
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Sam 29 Oct - 18:57
BIENVENUE A TOI, DIEU DE LA FÊTE!

Même si parmi nous, tu n'es qu'un homme.

Je corrigerais ta fiche, je ne peux laisser cet honneur à Five; mais je suis sûr qu'il n'y aura rien ou presque à redire.

Bonne fête perpétuelle à toi aussi o/

Je baise votre bague, mon cher Parrain.
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Jérôme
Jérôme
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Sam 29 Oct - 18:59
Bienvenue !
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Saki Kanon
Saki Kanon
Aqua
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Sam 29 Oct - 19:01
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Alvy D. Carty
Alvy D. Carty
Queen of Vampires
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Sam 29 Oct - 20:09
Bienvenue !
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Luciano Valente
Luciano Valente
Le Parrain
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Sam 29 Oct - 20:18
Merci merci pour votre accueil ^^

Gordon, c'est une chevalière, pas une simple bague, meh
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Gordon Wolfe
Gordon Wolfe
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Sam 29 Oct - 22:21
ALORS.

Parrain, votre fiche est parfaite - ou presque.

Une petite incohérence entre les deux histoires: ta famille habites aux USA depuis 4 générations, ou depuis celle de tes parents?

Un détail qui te suivra longtemps sur ce forum est qu'on dit "la chuunibyou", et non pas "le".

Il va aussi falloir que tu changes ton avatar pour qu'il corresponde à ta description, mais ce n'est pas directement à changer dans ta fiche, et si j'ai bien compris, tu as des membres de la famille qui travaillent actuellement dessus.

Autre chose importante, la présence d'un cheval dans ta signature est requise. Si ceci n'est pas fait, tu ne pourras être validé ni obtenir ta couleur.

Ceci étant changé, je pourrais alors te valider et te laisser être le grand maître de Hatfield o/





EDIT: L'histoire du cheval n'est pas de moi. Heichou, s'il te plait, arrête de modifier mes messages. x)
EDIT² : Ok. Alors ce sera moi, Firo.
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Luciano Valente
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Le Parrain
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Sam 29 Oct - 22:24
C'est cela mon bon, j'ai corrigé, j'ai changé d'opinion d'un soir à l'autre.

Et oui on y travaille, mais est-ce nécessaire pour la confirmation? Les avatars ont toujours été mon point faible...
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Gordon Wolfe
Gordon Wolfe
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Sam 29 Oct - 22:36
Et bien, tout est parfait, maintenant!

Parrain, bienvenue chez vous.

Luciano Valente: validé!
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